Essai de gréement sur le Nomad.

Et pourquoi pas monter le gréement du Klepper sur le Nomad ???

J’avais déjà fait un essai avec le Yakkair, plutôt un concept. Rien n’était en fait fixé et fonctionnel.

Avec le Nomad i’affaire  semble plus réalisable…. Juste quelques coups de scie pour réaliser un semblant de plancher/pied de mât… Et cette fois le gréement est à peu près correctement fixé et arrimé.

20150720_12503820150720_125100Pourtant je n’irai pas plus loin …

Et ceci pour plusieurs raisons : tout d’abord pour naviguer correctement à la voile il faut un minimum de raideur dans le gréement. Ensuite la mise en oeuvre d’un tel canote suppose un montage fastidieux mât, dérives, gréement dormant et courant, safran etc.. autrement on perd tout l’intérêt du Nomad simple vite gonflé, à l’eau tout de suite… Alors gardons la simplicité,  contentons nous de la voile flip flap pour le portant et basta !!!

Chronique d’une balade annoncée (11) : on fignole !

Suite à la balade de test du dernier weekend voici les dernières améliorations et modifications… toujours sur le vélo :

Plus de glacière ficelée sur le porte bagage avec le T bag de Brompton, avantage : accessibilité maximum pour le bidon d’eau, la bouffe, le téléphone, les cartes routières …

Et coup le bidon facilement accessible :

Et le support d’appareil photo sur le guidon est arrivé :

Et le rétro de mon grand vélo qui passe sur le Brompton, de plus le miroir se démonte facilement et trouve son utilité sur le kayak… En effet sur le Rhône il permet de jeter un coup d’oeil en arrière pour surveiller les péniches que l’on entend pas forcément arriver !

Chronique d’une balade annoncée (6) : retour sur l’itinéraire.

Ma première idée c’était la Loire dans le secteur Tours Angers pour combiner navigation et pistes cyclables de la « Loire en vélo ».

En navigation pas de problème je pourrais même encore charger la barque.

La difficulté c’est plutôt la partie vélo où il ne me faut pas trop de côtes avec mon attelage ! Sur le plat pas de souci ça roule très bien par contre dès que la pente s’élève, les choses se compliquent !

Bon je vais alléger le matériel mais pas question de rogner sur le confort !

Ensuite soit je laisse ma voiture dans un camping et je descends sur plusieurs jours d’une traite puis retour en vélo. Donc bivouacs et/ou campings au bord du fleuve. Ou bien navigation et vélo en alternance pour pouvoir gagner un camping tous les soirs (en ayant ainsi la possibilité de m’éloigner de la rivière.

Évidemment avec un camping tous les soirs on résout le problème du ravitaillement et de l’eau à trimbaler : plus besoin de grosses réserves.

Entre Nevers et Orléans j’ai déjà navigué deux fois donc peut être attaquer la descente plus en amont par exemple en mettant à l’eau à Pouilly sous Charlieu en dessous de Roanne direction Digoin et plus… Pas de parc donc plus facile pour les bivouacs …

Après bien sûr on peut penser à une autre rivière ou fleuve… Pourquoi pas le Rhône ? Mais beaucoup de portages et les coins de bivouac ne sont pas évidents…

Bon on va continuer à gamberger …