Testé au rassemblement Arwen Marine sur le lac du Der : moteur sur le Skerry.
Concluant, le moteur propulse le bateau mais pas satisfaisant car le moteur est apparent… Il faudrait pouvoir le « dissimuler » dans un puits par exemple.
L'os à voile !
Les rêves ont été créés pour qu'on ne s'ennuie pas pendant le sommeil. (Pierre Dac)
C’est malgré tout plus discret qu’un HB sur un tableau arrière. Je crois qu’il y a des kayaks sur lesquels le Torqeedo Ultralight a été monté en puits. Peut-être les accessoires facilitant cette installation sont-ils disponibles sur le marché… As-tu pu mesurer la vitesse et l’autonomie?
Non pas de mesures précises de vitesse quand à l’autonomie tout dépend de la vitesse. Et puis surtout il faut bien positionner le moteur pour un rendement optimum, bref encore des réglages à prévoir. Quand à l’adaptation en « in board » il faudrait travailler la structure même du bateau : soit dans un puits comme dans les kayaks à condition de pouvoir l’enlever ou le rétracter pour aborder ou plutôt dans la pointe arrière, devant le safran, fixe et à demeure sous la flottaison mais là il faut casser tout le bateau…
Il y a cette possibilité là aussi (on en avait parlé au Lac du Der) :
http://skerry.knowpatience.com/2012/08/17/test-assembling-installing-the-rudder/
Jérôme (Méaban).
Pour compléter, l’auteur indique que pour naviguer sous voile, il suffit de remonter un peu de safran pour que l’hélice sorte de l’eau mais qu’il garde son pouvoir pour directionnel. Ça se tente non ??
Ah oui Jérôme ! Bonne idée qui demande un peu de boulot pour intégrer le moteur dans la pale du safran…